Je pense au Professeur, aux agressions et à la tentative d'assassinat qu'il a subies, à ces procès incessants, aux tracasseries permanentes, aux menaces de mort répétées contre ses proches…
Le Pr Faurisson est, pour moi, le géant des dernières décennies en France.
Vous ferez ce que vous voudrez de mon commentaire, d'abord parce que je ne me souviens pas vous avoir jamais vu participer à une campagne de calomnies, et ensuite parce que… c'est votre blog, ici !
« Cher Paul-Éric Blanrue, Je vous ai accusé d’avoir, le 16 juin 2015 et en deux heures d’interrogatoire par la présidente, omis de dire à cette dernière que vous ne m’aviez “jamais surpris en flagrant délit de fraude ou de mensonge” (votre formule en une ou en plusieurs autres circonstances). Or vous m’apportez aujourd’hui la preuve que vous aviez bel et bien prononcé à mon sujet les mots suivants : “[avec deux autres personnes] nous n’avons pas réussi à le démythifier, je ne l’ai jamais pris en flagrant délit de mensonge.” http://blanrue.blogspot.fr/2016/04/les-preuves-irrefutables-de-lenorme.html Donc, loin de simplement citer mon nom à côté de celui d’Uri Geller, vous m’aviez distingué de cet escroc. Je vous en donne acte et je vous en remercie mais, honteux et confus de mon manque d’attention lors de cette épuisante journée, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses les plus sincères. Robert Faurisson, le 23 avril 2016 Copie à tous mes correspondants. »
Je pense au Professeur, aux agressions et à la tentative d'assassinat qu'il a subies, à ces procès incessants, aux tracasseries permanentes, aux menaces de mort répétées contre ses proches…
RépondreSupprimerLe Pr Faurisson est, pour moi, le géant des dernières décennies en France.
Merci pour votre dessin.
merci à vous...
RépondreSupprimerVous ferez ce que vous voudrez de mon commentaire, d'abord parce que je ne me souviens pas vous avoir jamais vu participer à une campagne de calomnies, et ensuite parce que… c'est votre blog, ici !
RépondreSupprimer« Cher Paul-Éric Blanrue,
Je vous ai accusé d’avoir, le 16 juin 2015 et en deux heures d’interrogatoire par la présidente, omis de dire à cette dernière que vous ne m’aviez “jamais surpris en flagrant délit de fraude ou de mensonge” (votre formule en une ou en plusieurs autres circonstances).
Or vous m’apportez aujourd’hui la preuve que vous aviez bel et bien prononcé à mon sujet les mots suivants : “[avec deux autres personnes] nous n’avons pas réussi à le démythifier, je ne l’ai jamais pris en flagrant délit de mensonge.”
http://blanrue.blogspot.fr/2016/04/les-preuves-irrefutables-de-lenorme.html
Donc, loin de simplement citer mon nom à côté de celui d’Uri Geller, vous m’aviez distingué de cet escroc.
Je vous en donne acte et je vous en remercie mais, honteux et confus de mon manque d’attention lors de cette épuisante journée, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses les plus sincères.
Robert Faurisson, le 23 avril 2016
Copie à tous mes correspondants. »